91 rue Constantine
69400 VILLEFRANCHE SUR SAÔNE
581 rue François Villon
69910 VILLIE-MORGON
Psychothérapie Psychanalytique Corporelle Villefranche sur Saône
Anxiété, angoisse, troubles du sommeil, troubles de l’alimentation, mal de vivre,
problèmes relationnels, sexuels, dépendances, fatigue chronique, déprime , maladie psychosomatique, fibromyalgie, toute forme de maladie chronique...

Lorsque nous ne sentons plus l’élan, le dynamisme, le goût même de la vie ou que notre problématique prend trop de place, nous pouvons éprouver le besoin d’une aide appropriée. Qu’elles soient dues à un passage actuel difficile dans la vie tel qu’un deuil, une séparation, un accident, une maladie, une dépression, ou plus anciennes et inscrites dans une répétition ou un vécu d’enfermement, de limite, d’inhibition : les difficultés d’aujourd’hui peuvent être le point de départ d’un changement de vie.
Inscrite dans le courant de la Psychanalyse, l’écoute que je vous propose est axée sur les mouvements inconscients qui se révèlent dans votre libre association verbale et corporelle.
La Psychanalyse est une approche de l’humain qui prend en compte la dimension inconsciente de l’être. Par sa méthode basée principalement sur l’association libre verbale, la psychanalyse permet de révéler la signification inconsciente des actions, des symptômes, des rêves, des fantasmes.
Toutefois, nous constatons que la parole seule ne s’avère pas toujours libératrice.
Elle peut au contraire être utilisée inconsciemment comme une protection voire un bouclier. Elle peut aussi être difficile pour qui n’a pas l’habitude de se laisser aller à parler librement. Elle peut même être angoissante pour certaines personnes.
Ce qui conduit parfois à l’échec ou à une sensation de tourner en rond indéfiniment.
La médiation corporelle prend ici son sens. Le passage par le ressenti, par les sensations de son corps, par les émotions, ouvre un accès au vécu, à la mémoire corporelle, à une forme d’être pré-langagière.
La parole reprise dans la séance permet d’avancer dans la compréhension de son histoire et de ses difficultés.
A Villié-Morgon et Villefranche sur Saône
A qui s'adresse la Psychothérapie Psychanalytique Corporelle ?
Elle est indiquée pour les personnes souffrant de troubles psychosomatiques, de troubles bi-polaires, de dépression, de troubles du comportement, mais aussi pour toute personne qui souffre dans son Être, dans un manque à être. Elle s’adresse aux personnes pour qui la psychanalyse classique n’est pas adéquate ou pas envisagée.
Dans le cadre de la thérapie psycho-corporelle, le patient est invité à verbaliser ce qui se passe dans son corps tout en se laissant aller à évoquer les images qui viennent, les pensées, les ressentis. Le lien corps-psyché est envisagé comme une unité indissociable. Le langage est considéré autant du point de vue du langage corporel que du langage verbal. La remémoration est mise en route par les sensations corporelles.
La détente procurée permet une ré-appropriation de son corps, de ses limites corporelles. La médiation par le corps et les états du corps permet de tenir compte des aspects primaires de la construction psychique, notamment de la relation primaire à la mère.
A Villie-Morgon et Villefranche sur Saône


Comment se déroule une séance de thérapie ?
Le cadre de la thérapie est l’indispensable de la rencontre. On pourrait le comparer à une enveloppe protectrice grâce à laquelle la relation thérapeutique va pouvoir s’effectuer. Le cadre est aménagé suivant chaque type de thérapie et de thérapeute. Cependant les fondamentaux restent les mêmes :
• fréquence, durée, lieu des séances
• paiement des séances
• positionnement des personnes dans la séance
• confidentialité / secret
• neutralité (aucune directive, conseil, jugement de la part du thérapeute).
Le cadre doit donc être accepté par la personne qui souhaite s’engager dans une psychothérapie.
A Villié-Morgon et Villefranche sur Saône
Autres questions sur les traitements des angoisses...
Commencer une psychothérapie n’est jamais chose simple. Parfois la souffrance est telle que cela s’impose mais pourtant, souvent, nous hésitons, cherchons des solutions qui paraissent moins coûteuses : médicaments, sport, ou bien nous cherchons à nous changer les idées, voire à nous évader par des conduites qui deviennent vite addictives ( alcool, haschich, sexe…) .
Pourtant reste en arrière- plan, cette angoisse, cette insatisfaction, cette incompréhension et ce sentiment de ne plus savoir ni qui nous sommes ni ce que nous faisons sur cette terre.
Nous souhaitons le changement et le refusons en même temps. La peur de l’inconnu du devenir, la peur de perdre ce qui nous fait tenir (y compris nos souffrances et nos symptômes) nous fait hésiter à passer le cap.
Nous justifions aussi notre report par le coût financier d’une thérapie : « c’est trop cher pour moi, je ne peux pas me le payer, j’ai trop de factures… ».
Il est vrai qu’une thérapie a un coût financier, mais combien d’argent dépensé dans des biens matériels ( télévision, téléphonies, meubles, vêtements …), des addictions (cigarettes, alcool, nourriture excessive… ) ?
Et quelle valeur est elle accordée à ce qui est le plus essentiel : notre vie intérieure, notre bien-être psychique, nos relations, notre créativité et notre ouverture sur le monde ?
Quoi qu’il en soit, lorsque la question se pose pour nous, lorsque nous envisageons de prendre rendez-vous, viennent à nous des réticences et des inquiétudes de tout ordre inévitablement. L’entourage n’est souvent d’aucune aide, soit parce que se « plaçant anti-psy », soit parce qu’au contraire étant dans l’injonction « il faut que tu » . Il n’y a donc que vous qui pouvez décider de ce qui est bon et nécessaire pour vous aujourd’hui.